Saint-Bernard

L’église Saint-Bernard de l’Isle-aux-Coudres

« Véritablement développés autour de 1902, les lieux ont été officiellement détachés sur le plan religieux, en 1934, de Saint-Louis-de-l’Isle-aux-Coudres pour former la paroisse de Saint-Bernard, ainsi dénommée en l’honneur de saint Bernard de Clairvaux (vers 1090-1153), moine qui a fait reconnaître l’ordre des Templiers au concile de Troyes (France) en 1128. Conseiller des papes Innocent II et Eugène III, il s’est révélé davantage homme d’action que théologien et ardent promoteur du culte marial. Lorsque la municipalité a été créée en 1936, on a retenu la seconde partie de l’appellation, d’une part pour la distinguer d’autres Saint-Bernard existants et, d’autre part, pour préciser sa situation géographique. » Référence : www.toponymie.gouv.qc.ca

1929 Construction de l’église Saint-Bernard

L’église Saint-Bernard de l’Isle-aux-Coudres a été construite en 1929 et le curé-fondateur, l’abbé Horace Cimon, demeura dans cette paroisse durant plus de quarante-deux ans. C’est parce que les habitants de l’endroit ne pouvaient pas toujours se rendre aux messes célébrées en l’église Saint-Louis, plus au sud, durant la saison hivernale, que fut prise la décision d’y établir l’église. Ce temple a connu des phases d’agrandissement en 1954 et fut complètement rénovée de l’intérieur en 1976. Son architecture est simple. On peut admirer deux tableaux du peintre Paul-Gaston Masselotte qui illustrent le passage de Jacques Cartier à l’Isle-aux-Coudres en 1535. Il nommera cette île “ Isle ès Couldres ”car il y avait plusieurs noisetiers à cet endroit. Lire la suite

Conseil-du-patrimoine-religieux-du-Québec
Crédit photo : Conseil du patrimoine religieux du Québec

Le cimetière des Français

À Saint-Bernard de l’Isle-aux-Coudres
« C’est à cet endroit que Jacques Cartier fit célébrer la messe par ses deux aumoniers. Par la suite, l’endroit, connu des marins, servit de cimetière à ces derniers pour y enterrer les personnes décédées au cours des longs et difficiles voyages de l’époque. »

Référence : www.mrcharlevoix.ca