Les sacrements

Le sacrement est un signe particulier de l’amitié, de l’amour de Jésus. Un signe, c’est un geste ou une parole  qui  nous  fait  comprendre  quelque  chose qui existe mais qu’on ne voit pas.  Chaque sacrement nous montre un visage de Dieu.


Le sacrement de la Réconciliation

Pardonner, c’est donner toute la place à l’amour.  Ce n’est pas toujours facile de s’entendre avec tous et tous les jours.  Parfois, nous avons  beaucoup de difficulté à aimer les autres et nous fermons notre coeur.  Nous voulons être l’ami de Jésus mais parfois nous brisons l’amitié par notre agir.  Nous avons besoin de nous faire pardonner.  Passer d’un coeur brisé à un coeur pardonné, c’est un cadeau.
Ce cadeau, c’est le sacrement du pardon, de la Réconciliation.

Le sacrement de l’Eucharistie

En rompant le pain, Jésus annonce sa mort : il donne sa vie pour les autres. Il dit à ses disciples : «Faites ceci en mémoire de moi.» Jésus invite ainsi ses disciples à donner leur vie, c’est-à-dire à partager leurs biens, à aider les moins chanceux, à s’accueillir les uns les autres.  Voilà le sens de l’Eucharistie que Jésus a célébré la veille de sa mort.  C’est ce cadeau d’amour que Jésus nous donne et nous demande de vivre entre nous en mémoire de Lui. C’est ça la communion.
En en communiant, nous entrons dans le dynamisme d’amour de Jésus.

Le sacrement de la Confirmation

À l’âge de douze ans, Jésus, alors qu’il était en pèlerinage à Jérusalem, entre dans le Temple pour écouter les savants de la loi. C’est là que ses parents le trouvent et lui reprochent de les avoir inquiétés. Jésus leur répond sans hésiter qu’il doit être dans la maison de son Père. Voilà ce qui lui tient à coeur.
La Confirmation célèbre le lien du jeune avec Dieu et la famille des croyants et croyantes. Le jeune ou la jeune se reconnaît fils ou fille de Dieu et s’engage à faire connaître son amour.
Dans ce sacrement, le jeune reçoit les dons du Saint-Esprit, afin de remplir sa mission dans le monde et dans l’Église. Oui, cet Esprit demeure une réalité abstraite, et pourtant, on peut en faire l’expérience comme d’uneforce qui entraîne ou d’un amour qui envahi